Dans une époque où l’attention se réduit et où la musique est souvent réduite à des succès éphémères adaptés au streaming, YUNGBLUD a décidé de briser les codes pour son retour avec “Hello Heaven, Hello” !
D’une durée impressionnante de neuf minutes et six secondes, ce morceau est une déclaration audacieuse de liberté artistique, un hommage à l’âge d’or du rock, et une introduction puissante au prochain chapitre de la carrière du musicien britannique. Sorti comme le premier extrait de son troisième album à venir, “Hello Heaven, Hello” n’est pas qu’une chanson : c’est une expérience, un voyage, et un manifeste.
Dans une industrie musicale de plus en plus dominée par les algorithmes et la consommation rapide, la décision de YUNGBLUD de sortir un titre de neuf minutes comme single de retour est tout simplement audacieuse. “On m’a découragé de sortir une chanson de neuf minutes et six secondes comme premier single après une année d’absence, car, dans le monde moderne, c’est perçu comme un “risque”“, admet l’artiste de 27 ans. “Mais je ne le vois pas du tout comme ça. Pour moi, c’est une opportunité. À mon avis, le risque est le plus grand outil d’un artiste : tout mettre en jeu pour poursuivre la meilleure évolution et l’art que l’on peut créer. Sans risque, il n’y a pas d’innovation.“
Cette approche intrépide est devenue une marque de fabrique de YUNGBLUD. De son vrai nom Dominic Harrison, le natif de Doncaster a toujours été fidèle à lui-même, mélangeant punk, rock et pop dans un son qui défie toute catégorisation. Avec “Hello Heaven, Hello”, il repousse encore ses limites, créant un opéra rock ambitieux qui rend hommage à la grandeur de légendes britanniques comme The Who, David Bowie et Queen. Le morceau est une tapisserie sonore, tissant des envolées orchestrales, des riffs de guitare puissants et des refrains anthemiques dans une composition à la fois intemporelle et futuriste.
Au cœur de “Hello Heaven, Hello” se trouve une exploration profonde de l’identité et de la transformation. “C’est un voyage de réappropriation de soi – un adieu au passé et à la façon dont vous avez pu me connaître ou me percevoir auparavant, et un “bonjour” à l’avenir et à là où je vais. C’est une aventure sonore plus ambitieuse que jamais – un voyage qui doit être écouté dans son intégralité, sans retenue ni filtrage de son imagination.“
Les paroles de la chanson reflètent ce thème de renaissance, alors que YUNGBLUD se confronte à son passé, son présent et son avenir. “J’avais l’impression de commencer à me répéter – je tombais dans mon propre cliché”, avoue-t-il. “J’étais devenu trop à l’aise. D’un côté, c’était bien : ça voulait dire que j’avais mon propre style. Mais j’ai toujours dit que si les gens savent où je vais aller ensuite, c’est mon idée de l’échec.” Avec “Hello Heaven, Hello”, il brise toutes les attentes, offrant un morceau aussi imprévisible que puissant.
Accompagnant le single, un clip visuellement époustouflant réalisé par Charlie Sarsfield. Diffusé en avant-première sur les chaînes de MTV et sur les écrans géants de Times Square à New York, ce film de neuf minutes est aussi ambitieux que la chanson elle-même. C’est un kaléidoscope d’images, mêlant des paysages surréalistes, des plans intimistes et des performances explosives dans un récit visuel qui reflète la profondeur émotionnelle du morceau. Le clip est une preuve de l’engagement de YUNGBLUD à créer un art aussi immersif qu’innovant.
Pour YUNGBLUD, le rock est bien plus qu’un genre – c’est un mode de vie. “Le rock est dans mon ADN“, confie-t-il. “C’est le premier genre auquel j’ai été exposé; j’ai grandi dans un magasin de guitares avec mon père et mon grand-père. Le rock m’a aidé à trouver mon identité en tant qu’être humain.” Cette connexion profonde avec le genre est évidente dans “Hello Heaven, Hello”, qui rend hommage à l’histoire riche du rock tout en l’emmenant vers de nouveaux horizons. Le morceau est une célébration de la puissance intemporelle du rock, rappelant que celui-ci est loin d’être mort – il évolue.
“Hello Heaven, Hello” sert d’introduction au troisième album très attendu de YUNGBLUD, qu’il décrit comme “magique“. Bien que les détails sur le projet restent secrets, le single établit une barre élevée pour ce qui est à venir. “Cet album me semble magique, et c’est ici que tout commence“, dit-il. “Où allons-nous finir ? On verra bien. Montez à cheval. Allons-y.“
L’album marque un nouveau chapitre pour YUNGBLUD, défini par une croissance artistique et une quête de soi. “Pour la première fois depuis longtemps, je me sens exactement là où je dois être, en train de faire exactement ce que je suis censé faire – créer exactement ce que je veux – explorer le passé, le présent, le futur, et surtout, moi-même.“
Avec “Hello Heaven, Hello”, YUNGBLUD a livré une déclaration d’intention audacieuse. C’est une chanson qui défie les conventions, bouscule les attentes et réaffirme sa place comme l’un des artistes les plus innovants de sa génération. Dans un monde qui privilégie souvent la conformité à la créativité, YUNGBLUD rappelle que le véritable art réside dans la prise de risques, l’acceptation de la vulnérabilité et la fidélité à soi-même. Comme il le dit si bien : “Sans risque, il n’y a pas d’innovation.” Et avec “Hello Heaven, Hello”, YUNGBLUD prouve une fois de plus qu’il n’a pas peur de sauter le pas.
Alors, attachez vos ceintures – ce n’est que le début. Où le voyage nous mènera, seul YUNGBLUD le sait. Mais une chose est sûre : ça va être un sacré tour.
