Accompagné de Moncrieff, The Script a donné un concert au Trianon de Paris à l’image du groupe de Dublin : chaleureux et positif !
Moncrieff
Avec beaucoup de délicatesse et sous un tonnerre d’applaudissements, MONCRIEFF prend place sur la scène du Trianon pour nous délivrer un set d’une demi-heure, brossant des thèmes de société comme la santé mentale des hommes, les ruptures amoureuses et autres.
Moncrieff fait également l’effort de s’exprimer en français, une prouesse saluée par toute la fosse et les balcons du Trianon. Son set pop mélancolique est doux, parfaitement exécuté et reçoit beaucoup d’applaudissements et d’encouragements de la salle. Une belle première pour un concert inaugural sur le territoire français !
The Script
Le moment tant attendu par la fosse impatiente arrive à 20H56 précisément : les lumières finissent par s’éteindre et l’audience est déjà en transe lorsque les premiers accords énergiques de “Superheroes” retentissent dans la superbe salle du Trianon. Daniel O’Donoghue, toujours aussi dynamique, entame le concert plein d’énergie et ne s’arrêtera pas une seule seconde !
La scénographie est élégante et épurée, mettant l’accès sur des lumières particulièrement belles et soulignant au mieux les silhouettes des membres de THE SCRIPT sur scène. “Superheroes” a chauffé la salle, mais l’enchaînement des titres “Rain” et “We Cry” pose les bases de la soirée : un concert chaleureux, positif et optimiste. Les Irlandais sont là pour nous faire passer un bon moment, et il n’y a qu’à voir le sourire de Daniel O’Donoghue tout le long du set pour se rendre compte que le plaisir est partagé ! Sans oublier le tube “The Man Who Can’t Be Moved”, faisant chanter en chœur la totalité de la salle du Trianon, y compris les balcons !
The Irish Way
L’hommage à la ville de Dublin avec le titre “Paint The Town Green”, ville natale et ville de cœur du groupe, nous donne un petit aperçu de racines celtes et punk rock de la bande. Il n’y a pas que Dropkick Murphys qui sait faire bouger une salle avec des sonorités irlandaises !
Vient le moment tant attendu par les plus fans du groupe : Daniel O’Donoghue fend la foule et s’installe en plein milieu de la fosse pour deux morceaux : “If You Could See Me Now” et “Nothing”. Entre un appel à l’ex d’une spectatrice et des petites blagues, l’ambiance est particulièrement bon enfant.
Tout va très vite au niveau du set des Irlandais; à peine la sensation d’avoir battu des cils que le rappel est entamé, sous des applaudissements nourris et des cris aigus des fans. Un rappel en forme d’apothéose avec les trois titres “No Good In Goodbye”, “Breakeven” et “Hall Of Fame”, clôturant avec beaucoup d’amour et de gentillesse une soirée d’une douceur incroyable.